Pratiques de la microfinance dans les pays du Nord et dans les pays du Sud : analyses et gouvernance en RD Congo et en Belgique.
Konzabi Nzeti, Yannick
Promotor(s) : Delfosse, Vincent
Date of defense : 29-Aug-2016/10-Sep-2016 • Permalink : http://hdl.handle.net/2268.2/1775
Details
Title : | Pratiques de la microfinance dans les pays du Nord et dans les pays du Sud : analyses et gouvernance en RD Congo et en Belgique. |
Author : | Konzabi Nzeti, Yannick |
Date of defense : | 29-Aug-2016/10-Sep-2016 |
Advisor(s) : | Delfosse, Vincent |
Committee's member(s) : | Esch, Louis
Muller, Aline |
Language : | French |
Keywords : | [fr] Microfinance [fr] Régulation [fr] Impact social [fr] Pauvreté [fr] Exclusion sociale [fr] Exclusion financière [fr] Microcrédit |
Discipline(s) : | Business & economic sciences > Finance |
Institution(s) : | Université de Liège, Liège, Belgique |
Degree: | Master de spécialisation en gestion des risques financiers |
Faculty: | Master thesis of the HEC-Ecole de gestion de l'Université de Liège |
Abstract
[fr] La lutte contre la pauvreté et l’exclusion sociale constitue l’un des défis majeurs auxquels sont confrontées les sociétés tant des pays industrialisés que les pays en voie de développement. La microfinance est considérée par nombre d’acteurs concernés par la question de pauvreté comme l’un des outils pertinents dans ce combat contre la précarité des personnes exclus du système bancaire classique.
Le présent travail se consacre à l’analyse des activités de la microfinance en saisissant les facteurs essentiels qui déterminent les motivations de développement de ce secteur tant au Nord qu’au Sud de la planète. Alors qu’en Afrique elle est plus présentée comme un instrument pour sortir des masses de la pauvreté, en Europe elle est approchée beaucoup plus comme un outil d’insertion professionnelle notamment de chômeurs qui peuvent se convertir en entrepreneurs en tant que travailleurs indépendants.
L’intérêt de ce sujet réside dans la volonté d’apporter une contribution au grand chantier de la lutte contre la pauvreté, l’extrême pauvreté et l’exclusion socio-économique des personnes aussi bien dans les pays dits riches que dans les pays pauvres. Ces personnes démunies ne présentent généralement pas un profil pour bénéficiers des services financiers du système bancaire classique. Alors que bien souvent si elles accèdent au financement, nombre d’entre eux peuvent être en mesure de participer au développement socio-économique de leurs communautés en créant leurs propres activités génératrices de revenus.
Au terme de cette étude, bien que la microfinance soit considérée comme un instrument utile dans la lutte contre la pauvreté, elle demeure une solution partielle dans la résolution définitive de ce fléau multidimensionnel. En effet, elle doit être associée à d’autres politiques et programmes publiques destinés à améliorer les conditions de vie des personnes à travers le monde.
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