Consommations de drogue(s) chez les 18-25 ans, quels facteurs psychologiques et relationnels en jeu? Etude exploratoire auprès d'une population universitaire.
Cuingnet, Sophie
Promotor(s) : Glowacz, Fabienne
Date of defense : 1-Sep-2014 • Permalink : http://hdl.handle.net/2268.2/669
Details
Title : | [fr] Consommations de drogue(s) chez les 18-25 ans, quels facteurs psychologiques et relationnels en jeu? Etude exploratoire auprès d'une population universitaire. |
Author : | Cuingnet, Sophie |
Date of defense : | 1-Sep-2014 |
Advisor(s) : | Glowacz, Fabienne |
Committee's member(s) : | Quertemont, Etienne
Dejozé, Michael |
Language : | French |
Number of pages : | 131 |
Rameau keyword(s) : | Toxicomanie Alcoolisme Cannabis Jeunes adultes Etudiants |
Discipline(s) : | Social & behavioral sciences, psychology > Treatment & clinical psychology |
Commentary : | 2 annexes |
Institution(s) : | Université de Liège, Liège, Belgique |
Degree: | Master en sciences psychologiques, à finalité spécialisée en psychologie clinique |
Faculty: | Master thesis of the Faculté de Psychologie, Logopédie et Sciences de l’Education |
Abstract
[fr] L'objectif de ce travail était de voir quels facteurs personnels et relationnels pouvaient être liés à la consommation de cannabis et d'alcool chez des jeunes de 18 à 25 ans. Plus particulièrement, nous avons étudié l'impact de l'impulsivité et de ses sous-dimensions, de la dépression et du sentiment de solitude, mais aussi de la consommation de drogues des pairs et de la consommation de cannabis en couple sur les consommations des sujets. Nous avons pour cela administré un protocole de questionnaires à 690 étudiants universitaires. La moyenne d'âge de cet échantillon est de 18,59 ans (s=1,562). Les questionnaires qui ont été choisis pour évaluer les dimensions énoncées ci-dessus sont l'UPPS, le CES-D, l'ESUL, le MUF et l'AUDIT. L'analyse des résultats a partiellement confirmé l'hypothèse 1 (lien entre la solitude, la depression et les consommations), montrant que le score au CES-D et l'interaction des scores à l'ESUL et au CES-D prédisent le score à l'AUDIT mais que ni le score à l'ESUL, ni le score au CES-D, ni leur interaction ne prédit la fréquence de consommation de cannabis. L'hypothèse 2 (lien entre l'impulsivité, la dépression et les consommations) a aussi été partiellement confirmée, révélant que le score à l'UPPS et l'interaction du score au CES-D et à l'UPPS prédisent le score à l'AUDIT, alors que le score à l'UPPS et l'interaction du score au CES-D et à l'UPPS ne prédisent pas la fréquence de consommation de cannabis. L'hypothèse 3 (lien entre l'impulsivité, l'usage de cannabis des pairs et celui du sujet) a été infirmée, l'interaction entre le nombre de pairs consommateurs de cannabis et le score à l'UPPS ne prédisant pas la fréquence de consommation de cannabis. Enfin l'hypothèse 4 (lien entre la consommation de cannabis en couple et celle du sujet) a été confirmée nous révélant une corrélation significative entre la fréquence de consommation de cannabis et la consommation de cannabis en couple.
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