Performances Energétiques attendues et vérifiées in situ, des Bâtiments tertiaires et résidentiels construits en acier : deux exemples
Huet, Valérie
Promoteur(s) : Hauglustaine, Jean-Marie
Date de soutenance : 2009 • URL permanente : http://hdl.handle.net/2268.2/2380
Détails
Titre : | Performances Energétiques attendues et vérifiées in situ, des Bâtiments tertiaires et résidentiels construits en acier : deux exemples |
Auteur : | Huet, Valérie |
Date de soutenance : | 2009 |
Promoteur(s) : | Hauglustaine, Jean-Marie |
Membre(s) du jury : | Monfils, Stéphane
Brogneaux, Thibaut |
Langue : | Français |
Nombre de pages : | 135 |
Discipline(s) : | Ingénierie, informatique & technologie > Ingénierie civile |
Institution(s) : | Université de Liège, Liège, Belgique |
Diplôme : | Master en ingénieur civil des constructions, à finalité approfondie |
Faculté : | Mémoires de la Faculté des Sciences appliquées |
Résumé
[fr] La réalité incontestable du réchauffement climatique et de ses impacts ainsi que
l’épuisement des ressources naturelles est aujourd’hui au cœur des débats. De ces
constatations alarmantes est né le concept de développement durable. Son objectif premier
est de permettre aux générations futures de disposer des ressources dont elles auront
besoin pour leur développement. En découle une volonté internationale de réduire
significativement les émissions de gaz à effet de serre. Puisque les émissions de CO 2
résultent presque exclusivement de la consommation de combustibles fossiles, celle-ci doit
être réduite en conséquence.
La priorité est donc de parvenir à une réduction importante de la consommation
d’énergie dans tous les domaines, et notamment dans le bâtiment. En effet, près de 41 % de
la demande totale d'énergie en Europe est imputable à nos bâtiments (résidentiels et
tertiaires) [source1]. Chauffage des locaux, production d'eau chaude, éclairage, climatisation,
sont les principaux vecteurs de (sur)consommation énergétique. Le secteur du bâtiment est
aussi responsable de 40% des émissions de CO 2 , de 30% de la consommation des
ressources naturelles, de 30% de la production de déchets et de 20% de la consommation
d'eau [source 2].
C’est donc un double défi que la construction va devoir relever dans les années à venir:
répondre à des besoins qui explosent au niveau mondial, tout en réduisant significativement
ses impacts par une amélioration drastique de ses activités.
Le secteur de l’acier ne déroge pas à la règle et se « met au vert ». Non seulement un
bâtiment acier est à même de relever ce double défi, mais les progrès sidérurgiques ont
d’hors et déjà conduit à des réductions importantes en matière de consommation d’énergie
primaire et de production des gaz à effet de serre.
Dans la première partie de ce travail, nous rappellerons les principes de base d’un
bâtiment énergétiquement performant et les réglementations en vigueur.
Dans la seconde partie, nous expliquerons l’état actuel de la filière acier, et en particulier
son utilisation dans les bâtiments.
La dernière partie de ce travail sera consacrée à l’étude de deux bâtiments en acier.
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