Travailler après la retraite officielle : Comparaison entre deux groupes "Exit forcé" vs. "Exit volontaire"
Brandt, Cindy
Promotor(s) : Hansez, Isabelle
Date of defense : 23-Jan-2018/24-Jan-2018 • Permalink : http://hdl.handle.net/2268.2/4329
Details
Title : | Travailler après la retraite officielle : Comparaison entre deux groupes "Exit forcé" vs. "Exit volontaire" |
Author : | Brandt, Cindy |
Date of defense : | 23-Jan-2018/24-Jan-2018 |
Advisor(s) : | Hansez, Isabelle |
Committee's member(s) : | Pérée, Francis
Grotz, Catherine |
Language : | French |
Number of pages : | 102 |
Keywords : | [fr] Exit forcé, Exit volontaire, motivations, effets, continuer à travailler, retraite |
Discipline(s) : | Social & behavioral sciences, psychology > Social, industrial & organizational psychology |
Target public : | Student |
Institution(s) : | Université de Liège, Liège, Belgique |
Degree: | Master en sciences psychologiques, à finalité spécialisée en psychologie sociale, du travail et des organisations |
Faculty: | Master thesis of the Faculté de Psychologie, Logopédie et Sciences de l’Education |
Abstract
[fr] Aujourd’hui prendre sa retraite n’est plus associé à un retrait total de la société, mais plutôt à un moment où les personnes continuent à étudier et recherchent des possibilités pour rester actifs (Fasbender, Deller, Wang, & Wiernik, 2014). Souvent on parle aussi d’une deuxième carrière, où le travail joue un rôle primordial. La pension est donc associée à une forme de transition vers une autre activité professionnelle (Kim & Hall, 2013). Une minorité des études scientifiques s’intéressent aux personnes qui travaillent après la retraite officielle (Boboc & Metzger, 2003 ; Reynolds, Farrow, & Blank, 2013). C’est un phénomène qui a été traité surtout dans la littérature anglo-saxonne. De plus en plus de pays européens commencent également à s’y intéresser. Parmi les études récentes nous constatons qu’ils ne prennent pas en compte l’aspect d’avoir un choix sur la décision de prendre sa pension « l’exit volontaire » ou de ne pas avoir le choix « l’exit forcé ». Chaque forme d’exit peut engendrer des répercussions. Nous nous sommes donc intéressés d’abord d’une manière globale quels sont les facteurs motivants la continuation d’exercer un emploi et deuxièmement quelles sont les effets sur les personnes âgées. Nous allons à chaque faire la différence entre les « Exit forcé » et les « Exit volontaire ». Premièrement, nous souhaitons d’une part démontrer si les facteurs motivants sont similaires, quelle que soit la manière de sortir du marché de l’emploi (« Exit forcé vs Exit volontaire). Deuxièmement, nous voulons voir quels sont les effets engendrés par le travail après la pension sur tous les individus. Ensuite, nous avons la distinction entre les deux groupes « Exit forcé » vs « Exit volontaire ».
La méthodologie appliquée était des entretiens semi-directifs. Pour cela nous avons rencontré 27 personnes toujours en activité.
Notre recherche a démontré qu’il existe une différence entre les personnes en « exit forcé » vs « exit volontaire » parmi le facteur financier. Au niveau des effets nous pouvons constater qu’il existe également une différence. Ceux en « Exit forcé » citent prioritairement la valorisation et la peur de ne pas profiter de la vie. Parmi ceux en « Exit volontaire » nous trouverons comme un effet négatif sur leur vie privée et d’avoir donné un sens à sa vie.
File(s)
Document(s)
Description:
Size: 2.59 MB
Format: Adobe PDF
Cite this master thesis
The University of Liège does not guarantee the scientific quality of these students' works or the accuracy of all the information they contain.