Vijgen, Aude
Promoteur(s) : Meulemans, Thierry
Date de soutenance : 4-sep-2012 • URL permanente : http://hdl.handle.net/2268.2/458
Détails
Titre : | [fr] Le contrôle des erreurs dans la maladie d’Alzheimer |
Auteur : | Vijgen, Aude |
Date de soutenance : | 4-sep-2012 |
Promoteur(s) : | Meulemans, Thierry |
Membre(s) du jury : | Stefaniak, Nicolas
Bastin, Christine |
Langue : | Français |
Nombre de pages : | 94 |
Mots-clé(s) Rameau : | Erreur Alzheimer, Maladie d' |
Discipline(s) : | Sciences sociales & comportementales, psychologie > Traitement & psychologie clinique |
Commentaire : | 0 annexe |
Institution(s) : | Université de Liège, Liège, Belgique |
Diplôme : | Master en sciences psychologiques, à finalité spécialisée en psychologie clinique |
Faculté : | Mémoires de la Faculté de Psychologie, Logopédie et Sciences de l’Education |
Résumé
[fr] La correction et la détection d’une erreur sont concevables grâce à un mécanisme cognitif spécifique aux erreurs : le système de « contrôle des erreurs ». Ce système a suscité un bon nombre d’investigations. Grâce à ces dernières, différentes adaptations ont été constatées dans le comportement après la production d’une réponse erronée. Il semble ainsi, que dans des tâches de temps de réaction, lorsque des participants commettent des erreurs, leur performance se trouve ralentie au stimulus suivant et ce, comparativement au temps mis pour réaliser des réponses correctes sans avoir préalablement commis une erreur. Ce phénomène est communément appelé le ralentissement post-erreur (Rabbitt, 2002 ; Jentzsch et al., 2009). Ce mémoire se penche spécifiquement sur le ralentissement post-erreur dans le vieillissement. Plus particulièrement, nous avons étudié l’effet de l’âge sur le ralentissement post-erreur. En outre, nous avons également examiné les liens qui peuvent exister entre celui-ci et différentes mesures liées aux processus exécutifs. Afin de répondre à ces objectifs, une tâche de temps de réaction basée sur le paradigme « stop signal », ainsi que trois tâches destinées à évaluer les fonctions exécutives ont été administrées à des jeunes adultes et des personnes âgées. Les résultats indiquent qu’aucune réduction relative au vieillissement n’est constatée dans le ralentissement post-erreur. De plus, les performances exécutives chez les personnes âgées ne seraient pas liées positivement à ce ralentissement.
Fichier(s)
Document(s)
Description: -
Taille: 1.18 MB
Format: Adobe PDF
Citer ce mémoire
L'Université de Liège ne garantit pas la qualité scientifique de ces travaux d'étudiants ni l'exactitude de l'ensemble des informations qu'ils contiennent.