L’impact de la violence conjugale selon la place de l’enfant dans la fratrie
Lejeune, Marine
Promoteur(s) : Blavier, Adelaïde
Date de soutenance : 11-sep-2012 • URL permanente : http://hdl.handle.net/2268.2/519
Détails
Titre : | [fr] L’impact de la violence conjugale selon la place de l’enfant dans la fratrie |
Auteur : | Lejeune, Marine |
Date de soutenance : | 11-sep-2012 |
Promoteur(s) : | Blavier, Adelaïde |
Membre(s) du jury : | D'Amore, Salvatore
Iovine, Maria |
Langue : | Français |
Nombre de pages : | 257 |
Mots-clé(s) Rameau : | Violence entre conjoints Violence familiale Enfants et violence Parents et enfants |
Discipline(s) : | Sciences sociales & comportementales, psychologie > Traitement & psychologie clinique |
Commentaire : | 1 annexe |
Institution(s) : | Université de Liège, Liège, Belgique |
Diplôme : | Master en sciences psychologiques, à finalité spécialisée en psychologie clinique |
Faculté : | Mémoires de la Faculté de Psychologie, Logopédie et Sciences de l’Education |
Résumé
[fr] Dans le cadre de cette étude, nous nous sommes intéressés à l’impact de la violence conjugale en fonction de la place de l’enfant dans la fratrie. Face à cette situation, nous avions émis l'hypothèse que nous trouverions un impact plus marqué chez les aînés par rapport aux cadets ainsi qu’un processus de parentification de l’aîné. Concernant la dynamique fraternelle, nous nous attendions à trouver une fratrie unie face au contexte familial violent. Trois fratries, composées de deux ou de trois enfants, âgés de 6 à 12 ans, ainsi que leurs mères ont participé à cette étude. Cette recherche s'est basée sur l’analyse qualitative des tests du Rorschach, du FAST et du dessin de la famille administrés aux enfants ainsi que sur l'analyse du contenu d'un entretien semi-structuré réalisé avec leurs mères. Les résultats nous ont indiqué que, face à ce contexte familial difficile, les aînés sont en effet plus marqués que leurs cadets et montrent en outre davantage de signes de dévalorisation, de troubles de l’attention et de la concentration, et de comportements inappropriés. Par contre, nous n’avons observé aucune différence, selon la place de l’enfant dans la fratrie, au niveau d'une mesure de l'estime de soi ainsi qu'au niveau de la difficulté à créer et maintenir des relations sociales. Aucun enfant ne présentait de processus de parentification tandis que la fratrie semblait unie face à la violence. Au regard de nos résultats, il serait intéressant d’investiguer davantage cette question de l’impact de la violence conjugale selon la place de l’enfant dans la fratrie ainsi que la dynamique fraternelle durant les violences, notamment en comblant nos faiblesses méthodologiques.
Fichier(s)
Document(s)
Annexe(s)
Description: -
Taille: 10.35 MB
Format: Adobe PDF
Citer ce mémoire
L'Université de Liège ne garantit pas la qualité scientifique de ces travaux d'étudiants ni l'exactitude de l'ensemble des informations qu'ils contiennent.