L'attachement chez les enfants porteurs de trisomie 21 âgés de 8 à 12 ans
Schumer, Pauline
Promotor(s) : Stievenart, Marie
Date of defense : 3-Sep-2018/11-Sep-2018 • Permalink : http://hdl.handle.net/2268.2/6003
Details
Title : | L'attachement chez les enfants porteurs de trisomie 21 âgés de 8 à 12 ans |
Translated title : | [fr] L'attachement chez les enfants porteurs de trisomie 21 âgés de 8 à 12 ans |
Author : | Schumer, Pauline |
Date of defense : | 3-Sep-2018/11-Sep-2018 |
Advisor(s) : | Stievenart, Marie |
Committee's member(s) : | Comblain, Annick
Baurain, Céline |
Language : | French |
Number of pages : | 76 |
Keywords : | [fr] attachement [fr] trisomie 21 [fr] déficience intellectuelle |
Discipline(s) : | Social & behavioral sciences, psychology > Treatment & clinical psychology |
Target public : | Student |
Institution(s) : | Université de Liège, Liège, Belgique |
Degree: | Master en sciences psychologiques, à finalité spécialisée en psychologie clinique |
Faculty: | Master thesis of the Faculté de Psychologie, Logopédie et Sciences de l’Education |
Abstract
[fr] L’attachement, un lien qui unit l’enfant à sa figure d’attachement, généralement le parent, doit être de bonne qualité pour assurer un bon développement de l’enfant (sentiment de sécurité, exploration de son environnement, …).
Vu l’importance de cet attachement, de nombreuses expériences ont été effectuées. Celles-ci ont démontré que la mise en place d’un attachement de qualité était fortement influencée par les caractéristiques du parent mais aussi celles de l’enfant. Ces recherches ont permis de définir quatre profils d’attachement : sécure, ambivalent, évitant et désorganisé.
Certains enfants porteurs de trisomie 21 semblent cependant présenter un profil d’attachement qui ne peut être rattaché à ceux-ci et qui est qualifié d’« inclassable ».
Des recherches ayant été effectuées chez les enfants atteints de trisomie 21 âgés de 1 à 4 ans, ce mémoire a pour objectif d’étendre plus spécifiquement l’examen de l’attachement à des enfants présentant cette caractéristique mais âgés de 8 à 12 ans et d’examiner si les particularités observées chez les tout-petits subsistent et de les comparer à des enfants du même âge atteints de déficiences intellectuelles modérées à sévères (enseignement de type 2) afin de déterminer l’influence sur l’attachement du syndrome de Down et des déficiences intellectuelles
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