Étude de l’autorégulation, de l’estime de soi et de la qualité de vie chez de jeunes adultes avec déficience intellectuelle
Schumacher, Michelle
Promoteur(s) : Detraux, Jean-Jacques
Date de soutenance : 6-sep-2013 • URL permanente : http://hdl.handle.net/2268.2/622
Détails
Titre : | [fr] Étude de l’autorégulation, de l’estime de soi et de la qualité de vie chez de jeunes adultes avec déficience intellectuelle |
Auteur : | Schumacher, Michelle |
Date de soutenance : | 6-sep-2013 |
Promoteur(s) : | Detraux, Jean-Jacques |
Membre(s) du jury : | Beckers, Jacqueline
Montulet, Isabelle |
Langue : | Français |
Nombre de pages : | 222 |
Mots-clé(s) Rameau : | Autorégulation Estime de soi Qualité de la vie Adaptation (psychologie) Jeunes adultes Déficience intellectuelle Handicapés mentaux |
Discipline(s) : | Sciences sociales & comportementales, psychologie > Traitement & psychologie clinique |
Commentaire : | 2 annexes |
Institution(s) : | Université de Liège, Liège, Belgique |
Diplôme : | Master en sciences psychologiques, à finalité spécialisée en psychologie clinique |
Faculté : | Mémoires de la Faculté de Psychologie, Logopédie et Sciences de l’Education |
Résumé
[fr] Notre travail vise l’analyse des capacités d’autorégulation de personnes adultes avec déficience intellectuelle en gestion de vie. L’étude s’applique à décrire de façon précise, à travers une étude de cas, l’évolution des stratégies autorégulatrices, ainsi que l’implication de la perception d’autorégulation, de l’estime de soi et de la qualité de vie dans les progrès retenus. La population choisie pour notre recherche se compose de dix adultes avec DI. La démarche utilisée est celle de l’observation des stratégies autorégulatrices en milieu de vie en deux temps, avec un intervalle de trois mois entre les deux moments d’évaluation. Les sujets sont évalués dans trois contextes de vie ciblés (courses, cuisine, épreuves). Il s’y ajoute un entretien avec chaque participant sur la perception personnelle du niveau d’autorégulation, suivi d’une passation d’une échelle d’estime de soi et d’une échelle de qualité de vie. À travers cette étude, nous ne pouvons pas confirmer notre hypothèse de départ d’une plus grande évolution des capacités d’autorégulation pour les sujets, présentant une estime de soi et une qualité de vie perçues plus élevées par rapport aux autres. Nos résultats mettent en évidence une évolution globale des capacités d’autorégulation comprenant des variabilités interindividuelles concernant les stratégies autorégulatrices et des différences intra-individuelles, selon le contexte de vie évalué. La qualité de vie perçue par tous nos sujets se situe à un niveau élevé. Les appréciations d’estime de soi se présentent de façon plus hétérogène. L’ensemble de ces données ne nous permet pas de confirmer notre hypothèse de départ. D’autres facteurs doivent être en jeu et influencer la plus ou moins grande évolution des capacités d’autorégulation. La poursuite de recherches dans ce domaine nous semble nécessaire et ce particulièrement au vu de l’impact de l’identification des facteurs internes et externes influençant l’évolution des capacités d’autorégulation en gestion de vie.
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