L'hyperparathyroïdie secondaire aux maladies rénales chroniques chez le chat : corrélation entre la taille des parathyroïdes et la sévérité des lésions rénales ?
Friedman, Pauline
Promotor(s) : Cassart, Dominique
Date of defense : 27-Jun-2019 • Permalink : http://hdl.handle.net/2268.2/7032
Details
Title : | L'hyperparathyroïdie secondaire aux maladies rénales chroniques chez le chat : corrélation entre la taille des parathyroïdes et la sévérité des lésions rénales ? |
Author : | Friedman, Pauline |
Date of defense : | 27-Jun-2019 |
Advisor(s) : | Cassart, Dominique |
Committee's member(s) : | Antoine, Nadine
Garigliany, Mutien-Marie Desmecht, Daniel Delguste, Catherine |
Language : | French |
Keywords : | [fr] maladie rénale chronique, hyperparathyroidisme |
Discipline(s) : | Life sciences > Veterinary medicine & animal health |
Institution(s) : | Université de Liège, Liège, Belgique |
Degree: | Master en médecine vétérinaire |
Faculty: | Master thesis of the Faculté de Médecine Vétérinaire |
Abstract
[fr] En Europe, 63% des chats âgés de plus de 10 ans sont touchés par des maladies rénales chroniques. Différentes étiologies sont décrites aboutissant à une maladie irréversible et évolutive, donnant lieu dans plus de 84% des cas à une maladie secondaire : l’hyperparathyroïdie. Elle résultera en une déminéralisation osseuse ainsi qu’une minéralisation ectopique des tissus mous. La survie de ces animaux -en relation avec le stade de la maladie rénale- étant engagée, un diagnostic précoce et un traitement adapté sont essentiels. De nombreuses études se sont penchées sur des dosages de créatinine, de phosphore ou de parathormone dans l’idée de donner un pronostic de survie à l’animal. Notre étude participe à la réalisation d’un pronostic plus précoce de la maladie. En se basant sur les différents écrits scientifiques, nous avons classé nos données expérimentales. Elles comprennent les lésions rénales macroscopiques et microscopiques, selon une classification IRIS 2, 3 ou 4. Sur les 25 cas recensés entre septembre 2016 et décembre 2018 présentant des lésions rénales chroniques, 18 d’entre eux regroupés exclusivement dans les stades 3 et 4, présentent une hyperplasie des glandes parathyroïdes externes. Notre étude a donc permis de confirmer que l’hyperparathyroïdie secondaire aux maladies rénales chroniques pouvait être suspecté macroscopiquement dès le stade IRIS 3.
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