Etude du travail émotionnel et des compétences émotionnelles chez le personnel soignant de deux services de revalidation neuro-fonctionnelle : impact sur le bien-être
Mossiat, Stéphy
Promoteur(s) : Hansez, Isabelle
Date de soutenance : 4-sep-2015 • URL permanente : http://hdl.handle.net/2268.2/939
Détails
Titre : | [fr] Etude du travail émotionnel et des compétences émotionnelles chez le personnel soignant de deux services de revalidation neuro-fonctionnelle : impact sur le bien-être |
Auteur : | Mossiat, Stéphy |
Date de soutenance : | 4-sep-2015 |
Promoteur(s) : | Hansez, Isabelle |
Membre(s) du jury : | Bragard, Isabelle
Monville, Mireille |
Langue : | Français |
Nombre de pages : | 116 |
Commentaire : | 7 annexes |
Institution(s) : | Université de Liège, Liège, Belgique |
Diplôme : | Master en sciences psychologiques, à finalité spécialisée en psychologie sociale, du travail et des organisations |
Faculté : | Mémoires de la Faculté de Psychologie, Logopédie et Sciences de l’Education |
Résumé
[fr] Ce mémoire étudie le travail émotionnel et les compétences émotionnelles dans deux centres de revalidation neurofonctionnelle, auprès d’infirmiers(ières) et d’aides-soignants(es). Nous nous référons au modèle JDR (Schaufeli & Bakker, 2004) afin de mieux comprendre l’impact de nos variables de recherches dans la survenue du stress, du burnout et de l’engagement au travail. Deux types de facteurs de risques sont responsables de telles conséquences : les demandes de travail et les ressources du personnel. Le travail émotionnel, stressant de nature, illustre une demande de travail fortement sollicitée dans le secteur des soins de santé. Nous étudions ainsi son impact sur le bien-être de nos participants. Ensuite, nous nous intéressons aux ressources d’ordre professionnel (le « job control » et le support perçu) et d’ordre individuel (les compétences émotionnelles). Nos ressources de travail aideraient les travailleurs à renforcer leurs compétences émotionnelles et à faciliter leur utilisation. Notre méthodologie est entièrement quantitative. Nos résultats démontrent l’influence du travail émotionnel sur le stress, le burnout et l’engagement au travail. De plus, certaines compétences émotionnelles interviendraient dans l’explication de ces critères. Pour ce qui est de l’influence des ressources de travail sur les compétences émotionnelles, les résultats ne se montrent pas concluants. Notre étude nous amène à plusieurs suggestions d’approfondissement pour les recherches futures, dont celles d’inclure les compétences émotionnelles dans des initiatives de prévention du burnout.
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