Utiliser les cartes mentales comme outil de planification en cinquième primaire dans un milieu défavorisé peut-il être bénéfique pour la production d'écrits informatifs ?
Ledrus, Julien
Promotor(s) : Denis, Brigitte
Date of defense : 20-Jun-2018/26-Jun-2018 • Permalink : http://hdl.handle.net/2268.2/4575
Details
Title : | Utiliser les cartes mentales comme outil de planification en cinquième primaire dans un milieu défavorisé peut-il être bénéfique pour la production d'écrits informatifs ? |
Author : | Ledrus, Julien |
Date of defense : | 20-Jun-2018/26-Jun-2018 |
Advisor(s) : | Denis, Brigitte |
Committee's member(s) : | Verpoorten, Dominique
André, Marine |
Language : | French |
Number of pages : | 87 |
Keywords : | [fr] Cartes mentales - écrits informatifs |
Discipline(s) : | Social & behavioral sciences, psychology > Education & instruction |
Target public : | Researchers Professionals of domain Student |
Institution(s) : | Université de Liège, Liège, Belgique |
Degree: | Master en sciences de l'éducation, à finalité spécialisée en enseignement |
Faculty: | Master thesis of the Faculté de Psychologie, Logopédie et Sciences de l’Education |
Abstract
[fr] Selon Alcorta (2001), « la réussite scolaire, voire sociale, est souvent liée à une bonne maîtrise de l’écrit ». D’après l’OCDE, il parait nécessaire d’équiper les élèves avec des stratégies efficaces. En effet, les élèves qui obtiennent les meilleurs résultats utilisent des stratégies pertinentes pour synthétiser les informations (PISA à la loupe, 2013). Selon Hayes et Flowers (1980), le processus d’écriture est divisé en trois étapes. Tout d’abord, il y a la planification, qui est un moment de préparation et qui permet de récupérer les connaissances nécessaires à la tâche demandée ainsi que de les organiser. Ensuite, la mise en texte correspond à la rédaction proprement dite en réfléchissant notamment à l’aspect lexical et syntaxique. Enfin, la révision est une relecture avec d’éventuelles modifications afin d’améliorer ou de clarifier son écrit. Cette étude de type recherche-action se concentre sur la première étape de ce processus. Selon Kervyn et Faux (2001), ce sont essentiellement les brouillons linéaires qui sont utilisés à l’école primaire. A ce niveau, « les brouillons peuvent s’avérer contreproductifs » (Darras, 2011, cité par Kervyn & Faux, 2014). Il semble donc intéressant de travailler ce processus rédactionnel. Nous avons souhaité observer l’impact qu’une mind map peut avoir sur la rédaction d’un texte avec comme question de recherche : « Utiliser les cartes mentales comme outil de planification peut-il être bénéfique pour la production d’écrits informatifs ? ». La présente recherche a été menée dans deux classes de cinquième année primaire issues de l’encadrement différencié. Différents points y ont été abordés. Tout d’abord, les conceptions des apprenants à propos du rôle des brouillons avant et après le dispositif d’apprentissage mis en place ont été analysées. De cette manière, nous avons pu étudier l’évolution de celles-ci. Ensuite, nous avons également comparé ces représentations avec la fonction que les élèves attribuent aux cartes mentales. Enfin, la progression des enfants concernant la rédaction de textes informatifs a été analysée. L’objectif est d’observer l’impact que la carte mentale peut avoir au niveau de l’organisation des informations du texte informatif produit. Pour cet aspect, l’évolution des apprenants a été mesurée à l’aide de la méthode pré-test – post-test. L’usage des cartes mentales utilisées comme brouillon instrumental dans le but de produire un texte informatif cohérent et structuré a d’ailleurs révélé des résultats positifs.
File(s)
Document(s)
Description: Contenant les annexes "light"
Size: 3.83 MB
Format: Adobe PDF
Annexe(s)
Description:
Size: 4.87 MB
Format: Adobe PDF
Cite this master thesis
The University of Liège does not guarantee the scientific quality of these students' works or the accuracy of all the information they contain.